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Dans quel cas le conducteur est-il obligé le permis « nouvelle génération » ? Quelles sont les caractéristiques de ce nouveau format ? Quels sont les avantages d’échanger son ancien permis ? On répond aux questions que vous vous posez.

Echanger l’ancien permis n’est pas encore obligatoire

L’ancien permis reste en effet valable jusqu’au 19 janvier 2033. Vous ne devez l’échanger qu’en cas de vol, perte ou détérioration.

En cas de vol, la déclaration de vol doit être faite avant la demande de renouvellement de permis. Au commissariat de police, on vous donnera un récépissé qui vous permettre de circuler pendant deux mois maximum.

En cas de perte du permis, la déclaration de perte et la demande de renouvellement doivent être faites en même temps.

Les caractéristiques du permis « nouvelle génération »

Le format, les différentes catégories ainsi que les modalités d’obtention du permis « nouvelle génération » sont les mêmes dans les pays membres de l’UE.

Sur le plan esthétique, le nouveau permis  est un document plastifié avec le format d’une carte de crédit ou d’une carte de visite. Il affiche plusieurs informations, dont la photo d’identité  et l’état civil du titulaire ou encore la catégorie et la validité du permis.

La démarche pour obtenir le permis nouveau format

Depuis la réforme Plan préfecture nouvelle génération ou PPNG, les démarches liées au permis de conduire se font en ligne. Plus précisément, vous effectuez votre demande de renouvellement sur le site de l’Agence nationale des titres sécurisés.

Pour avoir un permis « nouvelle génération », vous devez fournir, sous format numérique :

• Un code photo d’identité ;
• Une pièce d’identité ;
• Un justificatif de domicile ;
• Une déclaration de perte ou de vol.

Les bonnes raisons de garder son ancien permis

L’ancien permis étant encore valide pour encore de nombreuses années, rien ne vous oblige à vous précipiter pour l’échanger pour le permis « nouvelle génération ». L’utilisation de votre vieux permis rose est parfaitement légale.

Le nouveau permis a des avantages, dont la facilité de consultations des points et son format plastifié. Il est cependant important de noter que sa validité est limitée à 15 ans. En outre, avec ce nouveau document, vous devrez effectuer tous les cinq ans une visite médicale pour le renouveler. En clair, si vous avez des soucis de santé, conserver l’ancien permis – et tout faire pour éviter qu’il soit perdu, volé ou détruit – est la meilleure chose à faire.

Il faut cependant se préparer. Dans une bonne dizaine d’années, tous les conducteurs européens devront adopter ce nouveau format et se plier aux règles qui vont avec.

Il faudra réaliser effectuer avant 2033 la démarche pour échanger son ancien permis. En cas de retard, vous ne pourriez pas circuler librement dans les autres pays européens. Il est également important de rappeler que le permis français n’est valable que dans les pays membres de l’Union européenne. Pour pouvoir circuler dans les Etats qui n’en sont pas membres, il faudra vous prémunir d’un permis de conduire international.

Vous pouvez apprendre et réviser mais aussi vous inscrire pour l’examen sur Internet. Il faut cependant vous rendre soit dans le lieu indiqué par une auto-école ou dans un centre d’examen de votre choisi si vous êtes candidat libre, pour pouvoir passer cet examen.

Apprendre et réviser en ligne

Apprendre le code de la route en ligne est une solution avantageuse. La formation s’apprécie notamment pour sa flexibilité. Vous êtes en effet libre de choisir les choisir quand apprendre ou réviser.

La formation est en outre moins onéreuse par rapport à ce que propose une auto-école classique, où il faut compter 300 € en moyenne pour passer le code.

Vous avez en tout cas le choix parmi différentes plateformes spécialisées. Ce sont des sites proposant une formation conçue par des professionnels reconnus.

Avec votre ordinateur, tablette ou smartphone, vous avez accès à de nombreux contenus, dont des cours de codes mais également des vidéos explicatives et des séries de test

Des examens blancs vous sont également proposés pour que vous soyez parfaitement préparé au moment de passer l’ETG (épreuve théorique générale commune).

Inscription à l’ETG en ligne

S’il faut être présent physiquement pour passer l’épreuve, vous pouvez effectuer votre inscription sur Internet.

Si vous comptez passer le code en candidat libre, vous pouvez passer le code auprès d’un centre d’examen agréé de La Poste, Exacode, SGS, France Code, Bureau Veritas, Pearson Vue ou Dekra.

Les étapes à suivre pour vous inscrire pour l’ETG :

• Rendez-vous sur le site du centre agréé de votre choix ;
• Choisissez, parmi les sessions que propose le centre d’examen, le lieu et la date où vous souhaitez passer le code ;
• Renseignez votre nom et votre date de naissance ;
• Renseignez également votre NEPH (numéro d’enregistrement préfectoral harmonisé), une série de 12 chiffres qu’il faudra demander préalablement sur le site web de l’Agence nationale des titres sécurisés ou ANTS.
• Payez 30 € par carte bancaire pour pouvoir passer l’ETG. A noter qu’il s’agit d’un tarif unique fixé par le gouvernement, valable sur le territoire français

Votre convocation vous serez envoyée par mail. Imprimez ce document pour le présenter le jour J au centre d’examen où vous allez passer l’épreuve.

Connaître le résultat de l’épreuve en ligne

Il y a pas mal de choses  que vous pouvez effectuer sur Internet. L’inscription à l’épreuve théorique en fait partie, tout comme la consultation de votre résultat.

Il est possible de prendre connaissance du résultat de l’examen théorique quelques heures après l’avoir passé. Ce résultat vous est envoyé par mail. Le courriel précise évidemment la note que vous avez obtenue ainsi que la mention « favorable » ou « défavorable ».

Si vous passez l’épreuve théorique avec succès, il est temps désormais de passer à l’épreuve pratique. Pour cela, deux chois s’offrent à vous : soit vous contactez une auto-école classique ; soit vous réservez vos heures de conduite en vous rendant sur un site Internet spécialisé du même genre que la plateforme sur laquelle vous avez appris le code et via laquelle vous vous êtes inscrit pour l’examen théorique.

Le conducteur peut conduire à nouveau quand la suspension de son permis prend fin ou bien s’il obtient gain de cause en faisant un recours.

Les infractions entraînant une suspension du permis

Le préfet peut entamer une procédure de suspension  après rétention permis de conduire quand une personne :

• Conduit sous l’emprise de l’alcool ou de stupéfiants ;
• Dépasse la limitation de vitesse de 40 km/h ;
• Refuse de se soumettre à des vérifications concernant l’état de l’alcoolémie ou l’usage de stupéfiants ;
• Refuse d’obtempérer.

La procédure de suspension peut aussi être mise en œuvre si le conducteur est soupçonné d’avoir enfreint les règles d’usage du téléphone tenu en main, de vitesse, de croisement, dépassement, intersection ou priorité de passage, et qu’il a causé un accident ayant entraîné un dommage corporel ou la mort d’une personne.

Il en est de même si la personne conduit téléphone à la main et commet en même temps d’autres règles (distances de sécurité entre les véhicules, règles de vitesse, feux de signalisation règles de conduite et de vitesse, etc.)

Le délai pour prononcer la suspension du permis

La suspension du permis de conduire doit être prononcée 72 heures après sa rétention, ou bien dans un délai de 120 heures  si le titulaire est accusé d’avoir conduit sous l’emprise de l’alcool ou de stupéfiants.

La décision de suspension est notifiée au conducteur si celui-ci se présente au service indiqué sur l’avis de rétention. Dans le cas contraire, la décision lui est notifiée par lettre avec accusé de réception.

La durée de la suspension

La durée maximale de suspension d’un permis de conduire est généralement de 6 mois. Il existe cependant des cas dans lesquels elle peut être portée à 12 mois :

• Accident routier ayant causé un dommage corporel ou la mort d’une personne ;
• Refus d’obtempérer ;
• Conduite sous l’emprise d’alcool ou de stupéfiants ;
• Refus de se soumettre à des vérifications concernant l’état d’alcoolémie ou l’usage de stupéfiants.

La récupération du permis

Le conducteur doit passer un contrôle médical. Il ne peut alors récupérer son permis de conduire que s’il est reconnu apte à la conduite à la suite d’un contrôle médical.

A cet effet, il doit faire une  demande en ligne sur le site de l’ANTS (Agence nationale des titres sécurisés), en fournissant les documents suivants :

• Une photo-signature numérique ;
• Une pièce d’identité en cours de validité ;
• Un justificatif de domicile ;
• Un formulaire « avis médical » rempli par le médecin agréé ou la commission médicale ;
• La décision de suspension du permis de conduire

Faire un recours  administratif ou contentieux pour récupérer son permis

La décision de suspension prise par le préfet indique non seulement la durée de cette suspension mais aussi les voies de recours possibles.

En l’occurrence, le conducteur peut effectuer un recours administratif et plaider sa cause auprès du préfet. Il peut aussi faire un recours contentieux pour faire annuler la décision de suspension par juge administratif.

L’estimation immobilière n’est certes pas une science exacte, mais elle permet de trouver le juste prix de la maison, ce qui permet de la vendre dans le plus vite possible.

Pour faire estimer sa maison par un professionnel ?

Les propriétaires font faire une estimation la plupart du temps quand ils ont l’intention de vendre leur maison. Il y en a aussi qui font appel à un professionnel tout simplement pour connaître ce que vaut leur maison même s’ils n’ont pas l’intention de vendre dans l’immédiat. Faite à titre informatif, l’estimation leur permet de connaître l’évolution de la valeur de leur bien. L’estimation est également nécessaire quand on a l’intention de mettre un logement en location.

Il existe aujourd’hui un certain nombre d’outils donnant accès à des bases de données sur les différentes transactions immobilières réalisées partout en France. Ces plateformes permettent aux  professionnels comme aux particuliers de connaître la moyenne de prix qui se pratique dans un secteur donné.

Il est cependant recommandé de faire estimer la maison par un professionnel. Il n’est pas rare en effet que le propriétaire surévalue sa maison. L’agent immobilier se base, lui, sur des éléments objectifs tels que la surface habitable, le nombre de chambres et de salles d’eau, la présence d’un jardin ou d’une terrasse ou encore la qualité de l’environnement. Il prend aussi en compte le marché de l’immobilier ou encore les attentes des  acquéreurs.

Faire estimer la maison par un agent immobilier

L’agent immobilier a pour rôle d’estimer le potentiel de la maison. Le professionnel indique les atouts comme les points faibles du bien à vendre. Il prend en compte de nombreux critères, de la qualité des finitions à la taille et la répartition des pièces en passant par la plomberie ou l’installation électrique… En clair, il s’attarde sur de nombreux détails qui peuvent  impacter la vente.

L’estimation est aussi l’occasion pour l’agent immobilier de faire des recommandes au propriétaire, sur la base justement de ce qu’il a observé. Il parle au propriétaire des points faibles à améliorer, comme par exemple une salle de bains datant des années 1980 qui aurait besoin d’une rénovation. Il a aussi pour rôle de valoriser les atouts de la maison, comme des moulures décoratives ou des sols en bois massif d’époque. Si en outre, l’emplacement du bien et son environnement sont par exemple des éléments positifs, l’agent immobilier ne manquera pas de les mettre en avant dans les annonces afin de séduire de potentiels acheteurs.

Faire estimer la maison par un notaire

Quand on parle d’estimation immobilière, on pense avant tout à l’agent immobilier. Mais cette tâche peut aussi être réalisée par un notaire.

Le notaire procède à une évaluation chiffrée d’un logement, indiquant ainsi un prix estimatif le plus proche possible de la juste valeur réelle du bien. Le professionnel intervient le plus  souvent dans le cadre d’un projet de vente, mais pas toujours : son expertise est aussi sollicitée dans le cadre d’une succession, d’un divorce ou d’une requête de la banque du propriétaire.

L’estimation fait partie des étapes incontournables d’une transaction immobilière. Si elle n’est pas une science exacte, elle permet en tout cas d’obtenir une fourchette de prix la plus réaliste possible. Pour ce faire, le professionnel se base sur de nombreux éléments objectifs concernant le bien en vente, de la surface habitable au nombre de pièces en passant par la présence d’un jardin ou d’une terrasse ou encore la qualité du quartier et de l’environnement direct. L’expert s’intéresse aussi à des détails qui peuvent influer sur la vente et la valeur de la maison ou de l’appartement, comme l’installation électrique ou la plomberie.

L’estimation immobilière en deux mots

Le professionnel qui se charge de l’estimation a pour rôle de déterminer la valeur réelle d’une maison ou d’un appartement. L’expert se base sur de nombreux critères afin d’obtenir  le juste prix pour le bien.

Ainsi prend-il en compte de l’emplacement du logement, de la situation géographique (ville, département…) à la qualité du quartier en passant en passant par la proximité avec des lieux d’intérêt comme les commerces, les transports en commun ou les écoles. L’attractivité de l’environnement immédiat, la vue et le panorama font aussi partie des détails qui influent sur la valeur du logement.

L’agent immobilier s’attarde également des caractéristiques objectives telles que la surface habitable, l’âge et la qualité de la construction, le nombre et la répartition des pièces, la luminosité, les différents équipements…

Le professionnel prend aussi en compte le contexte économique ainsi que les prix qui se pratiquent dans  le secteur où se trouve la maison ou l’appartement à estimer.

Les raisons de réaliser une estimation immobilière

L’estimation occupe une place importante dans le cadre d’un projet de vente. En déterminant un prix qui reflète la valeur réel de la maison ou de l’appartement en vente, le professionnel rend service au propriétaire comme au potentiel acheteur.

L’estimation est bénéfique pour le propriétaire parce qu’un bien surévalué met toujours beaucoup de temps à trouver preneur. Or plus un logement reste sur le marché, plus il perd de la valeur.

Elle est également bénéfique pour le potentiel acquéreur parce que le prix estimatif constitue une indication qu’il pourra comparer aux prix d’autres biens dans le même secteur.

Elle est également bénéfique pour le potentiel acheteur. Le prix estimatif constitue une indication qu’il pourra utiliser notamment pour comparer le logement avec d’autres biens en vente dans le même secteur.

Réaliser une estimation immobilière sans vendre

L’estimation immobilière est faite le plus souvent dans le cadre d’un projet de vente. Il est cependant des cas de figures où un professionnel procède à cette opération sans qu’il y ait intention de vendre le bien.

Un agent immobilier peut par exemple estimer la valeur d’une maison ou d’un appartement parce que les propriétaires souhaitent mettre le logement en location, ou tout simplement aussi pour connaître l’évolution de la valeur de leur bien, ce qui est pratique quand on prévoit de vendre dans quelques années.

Le notaire peut lui aussi effectuer une estimation immobilière, dans le cadre d’une transaction mais aussi dans celui d’une succession, d’une divorce ou pour le compte de la banque du propriétaire.

La validité des nouveaux permis de conduire est de 1 à 15 ans. Le renouvellement de cette pièce vous permet notamment d’actualiser votre photo d’identité ainsi que vos informations concernant l’état civil.

Quand renouveler le permis de conduire ?

La durée de validité du permis de conduire dépend de votre âge :

• 5 ans si vous avez entre 55 et 60 ans ou bien jusqu’à la date d’anniversaire de vos 60 ans ;
• 2 ans si vous avez entre 60 à 76 ans ou bien jusqu’à la date d’anniversaire de vos 76 ans ;
• 1 an si vous avez plus de 76 ans.

Si vous êtes titulaire d’un permis D, sa durée de validité est de

• 5 ans si vous avez moins de 55 ans ;
• 5 ans si vous avez de 55 à 60 ans ou bien jusqu’à la date d’anniversaire de vos 60 ans ;
• 1 an si vous avez 60  ans et plus.

La démarche pour renouveler le permis de conduire

Le renouvellement du permis de conduire est une démarche administrative qui ne vous demandera pas  beaucoup de temps. La procédure se fait en ligne.

Vous devez remplir un formulaire et fournir les pièces suivantes :

• Une photo d’identité récente ;
• Un justificatif de domicile ;
• Un avis positif du médecin, si la visite médicale est requise ;
• Une adresse postale où sera envoyé le nouveau permis de conduire ;
• Une adresse mail grâce à laquelle vous pourrez suivre l’avancement de votre dossier.

Quand la visite médicale est-elle demandée ?

La visite médicale n’est pas obligatoire pour tout le monde. Elle est demandée pour certains permis de conduire ou pour certains conducteurs d’un certain âge.

La visite médicale est requise :

• Si vous avez besoin d’une autorisation pour pouvoir exercer votre métier (ambulancier ou chauffeur de taxi par exemple) ;
• Si vous avez un handicap et que le véhicule que vous conduisez est spécialement aménagé pour ;
• Si vous n’avez plus de points sur votre ancien permis de conduire…

Cette liste, fournie par le Code de la route, est loin d’être exhaustive. Il existe en effet un certain nombre de pathologies qui ne sont pas compatibles avec le permis de conduire ou qui sont susceptible d’en réduire la durée de validité. La liste des affections en question est fixée par arrêté ministériel. Pour les personnes qui en sont atteintes, le renouvellement du permis n’est possible que si un médecin donne un avis positif.

Que faire en cas de vol ou de perte de votre permis de conduire ?

La démarche administrative est, là aussi, simplifiée. Il vous suffit en effet de demander un duplicata. On vous  remet alors un permis de conduire « nouvelle génération », c’est-à-dire plastifié, avec le même format qu’une carte de visite.

Pour résumer

La durée de validité d’un permis de conduire dépend de sa catégorie. Elle est par exemple de 15 ans pour les permis A et B et de 5 ans maximum pour les permis C, D et E. L’âge du conducteur influe aussi sur cette durée de validité. L’âge du conducteur influe également sur cette durée de validité…

Pourquoi passer le permis coûte-t-il cher ? Quel est le prix moyens en France ? Quels sont les tarifs pratiqués ailleurs en Europe ? On vous dit tout sur les véritables tarifs du permis de conduire.

Combien coûte une formation de base au permis ?

Il faut compter près  de 1 300 € pour une formation de base dans une auto-école classique. Avec ce tarif, le candidat n’a cependant droit qu’à 20 heures  de conduite. Or la plupart des Français font en moyenne entre 28 et 30 heures de conduite avant de passer l’épreuve du permis.

Les tarifs des auto-écoles, les régions ainsi que le coût de l’heure supplémentaire sont des facteurs qui font grimper le prix du permis de conduire. Avec autant de facteurs qui entrent en ligne de compte, le permis peut coûter jusqu’à 1 800 €.

Le coût est si élevé que de nombreux Français n’ont d’autre choix que de renoncer à conduire. Certaines personnes s’adonnent à la conduite sans  permis, une pratique passible de 15 000 € d’amende et d’un an de prison.

Quel est le prix moyen du permis en France ?

Une étude réalisée par UFC-Que Choisir établit la moyenne française à 1 804 €.

Parmi les départements où cela coûte le moins cher, on retrouve le Territoire de Belfort (1 486 €), le Nord (1 484 €) et la Nouvelle Calédonie (1 551 €).

Parmi ceux où le permis coûte le plus, il y a la Haute-Savoie (2 129 €), les Hauts-de-Seine (2 055 €), l’Essonne (2 042 €) ou encore Paris (2 140 €) et les Yvelines (2 104 €).

Combien coûte le permis ailleurs en Europe ?

Le prix du permis en France se trouve dans la moyenne européenne. La Norvège est l’un des pays où c’est le plus cher, où l’on doit dépenser près de 2 500 € pour passer le permis. C’est tout le contraire de la Belgique, où il faut compter à peine 500 €.

Un permis à bas coût, ça existe !

Quelques astuces permettent de faire des économies quand il faut passer son permis de conduire.

1. Le permis à 1 €

Le permis à 1 € par jour est un système de financement mis en place par l’Etat. Le dispositif permet aux 15-25 ans de contrat un prêt avec intérêt auprès d’un établissement financier.

Le bénéficiaire peut obtenir un prêt de 600, 800, 1 000 ou encore 1 200 €. Il le rembourse par des mensualités de 30 € maximum, sur une période de 20 à 40 mois

Le remboursement des intérêts est pris en charge par l’Etat.

• Aide pour les  contrats d’apprentissage

Il s’agit d’une aide de 500 € que  l’Etat octroie aux jeunes de moins de 18 ans en contrat d’apprentissage. Pour bénéficier de ce dispositif, le candidat doit envoyer une demande au Centre de formation d’apprentis.

Échouer à l’examen fait augmenter le prix du permis

Le candidat qui échoue à l’épreuve du permis peut retenter sa chance 3 mois plus tard.

Les auto-écoles suggèrent à ceux qui échouent une première fois de profiter de ce délai  pour prendre une dizaine d’heures de conduite, ce qui coûte environ  500 € supplémentaires.

La note s’alourdit et peut donc atteindre voire dépasser les 2 100 € en cas d’échec à l’examen.

Il existe plusieurs sites spécialisés permettant de préparer l’examen du code de la route. Ce sont des plateformes proposant entre autres des courts de code, des vidéos explicatives ou encore des examens blancs. On peut en outre effectuer son inscription à l’ETG et connaître le résultat de l’examen via l’un de ces sites.

Que propose un site web de préparation de l’ETG ?

Les sites Internet proposant l’apprentissage du code de la route se comptent par dizaines. Ces plateformes attirent beaucoup de monde parce qu’on peut apprendre et réviser selon l’emploi du temps de son choix, mais aussi parce qu’elles sont bien moins onéreuses que les auto-écoles traditionnelles.

Mais que proposent ces sites Internet au juste ? On trouve sur ces plateformes de nombreux contenus intéressants, dont des leçons pour réviser les notions ainsi que des séries d’entraînements pour se préparer à l’examen théorique générale commune ou ETG. Les plateformes font également passer des codes blancs qui constituent des moyens efficaces pour tester ses connaissances en conditions réelles.

Ce genre de site permet en somme de mettre toutes les chances de ses côtés pour réussir le code – un examen que l’on peut passer dans une auto-école classique ou bien dans un centre agréé de son choix si l’on veut passer l’épreuve théorique en candidat libre. La plateforme est également conçue pour permettre au candidat d’effectuer une inscription en ligne, souvent auprès d’un centre partenaire du site.

Quel intérêt de passer le code en ligne ?

Effectuer l’inscription pour l’épreuve théorique auprès d’un opérateur agréé est bénéfique à bien des égards :

• Le candidat n’a pas à se déplacer dans une école pour apprendre et réviser ;
• Le candidat choisi le  centre d’examen et la date de passage qui lui conviennent ;
• La solution ne coûte que 30 €, contre 300 € en moyenne pour passer le code dans une école classique.

Inscription  à l’ETG en ligne

Pour pouvoir s’inscrire à l’examen du code de la route, il faut :

• S’inscrire sur le site de l’Agence nationale des titres  sécurisés ou ANTS pour avoir son numéro d’enregistrement préfectoral harmonisé ou NEPH ;
• Se rendre sur le site web du centre agréé de son choix ;
• Renseigner diverses informations telles que le nom, l’âge, le lieu de résidence, le NEPH…
• Choisir le centre d’examen et l’horaire auquel l’on souhaite passer le code.

Les pièces à fournir pour passer le code en ligne

Pour l’inscription à l’ETG en ligne, il faut fournir :

• Une copie d’une pièce d’identité en cours de validité ;
• Une copie d’un justificatif de domicile de moins de six mois ;
• Une copie de l’Attestation de sécurité routière ou de l’Attestation scolaire de sécurité routière de niveau 2 ;
• Une copie de l’attestation de recensement si l’on a entre 16 et 18 ans ;
• Une copie du certificat de participation à la Journée d’appel de préparation à la défense si l’on a entre 18 et 25 ans.

Le déroulement de l’examen du code de la route

Le jour J, le candidat doit présenter une pièce d’identité et sa convocation à l’examen.

Qu’il opte pour La Poste, la SGS, Ornikar ou un autre centre agréé, le déroulement de l’épreuve théorique générale est le même. Pendant environ 20 minutes, chaque candidat doit répondre à 40 questions sur différentes thématiques du code de la route, de la circulation routière à la sécurité des passagers en passant par la route , le conducteur, les premiers secours ou encore la mécanique.

Le candidat obtient la mention « favorable » s’il donne 35 bonnes réponses.

Faire estimer la maison par un professionnel permet d’obtenir une valeur basée sur des éléments objectifs. Le but est de proposer à l’acquéreur le juste prix afin de vendre le bien dans les meilleurs délais.

Les éléments entrant en ligne de compte dans le calcul de la valeur d’une maison

Plusieurs éléments de base influent sur la valeur d’une maison.

1. La surface habitable

La superficie est l’une des caractéristiques qui déterminent le standing et le confort d’un logement. Prendre la mesure de la maison est d’ailleurs l’une des premières choses qu’un agent immobilier fait. Le professionnel multiplie ensuite la surface par le prix au mètre carré qui se pratique dans le secteur, pour obtenir un premier prix estimatif.

• L’état général du bien

En matière d’estimation immobilière, il est important de savoir si des travaux sont nécessaires ou pas. Si la maison que vous souhaitez vendre a besoin d’être entièrement rénovée, son prix baisse d’environ 400 à 800 € par mètre carré.

• La présence d’un extérieur

La surface extérieure entre aussi en ligne de compte. Si le jardin a une superficie limitée, il ne fera pas augmenter de manière significative la valeur de la maison. L’idéal serait par exemple d’avoir un jardin qui représente les deux-tiers de la superficie de la propriété.

L’agent immobilier prend aussi en compte la disposition de voter jardin. Le fait que cet espace extérieur soit  en longueur ou bien en pente peut par exemple faire baisser la valeur du bien.

• L’emplacement de la maison

L’environnement compte tout autant que le bien lui-même. Pour estimer la valeur de la maison, l’agent immobilier prend en compte divers éléments des alentours : les services, commodités et transports se trouvant dans le quartier, le voisinage, la présence ou non d’un vis-à-vis, etc.

• Les éléments de standing

Les éléments de standing tels qu’une terrasse en bois aménagée, une piscine en terrassée ou encore un grand garage avec ateliers font grimper la valeur d’une maison.

Les outils de référence pour calculer la valeur d’une maison

Les différentes caractéristiques de la maison permettent d’obtenir un premier prix estimatif de la maison, mais cela ne saurait suffire. Pour trouver la juste valeur du bien à vendre, il est important pour de s’appuyer sur un outil lui permettant d’affiner son calcul.

Les professionnels mais aussi les particuliers peuvent notamment se servir du site App.dvf.etalab.gouv.fr, une base de données gouvernementale qui recense toutes les transactions réalisées dans les départements et communes de France. La plateforme précise en outre le montant et la date de chaque opération immobilière.

Ainsi, si un voisin a réussi à vendre sa maison de 140 m² située à Chanoz-Châtenay dans l’Ain, vous connaîtrez le prix de la transaction. Il vous suffit alors de diviser le prix par la surface habitable du logement pour avoir le prix moyen au mètre carré. Ensuite vous comparez avec les autres biens vendus dans le même secteur pour obtenir une moyenne des prix qui vous aidera dans le calcul de la valeur de votre bien.

Le site Bien-estimer-satifi.fr est un autre outil plus simple mais tout aussi efficace. Pour obtenir une fourchette de prix concernant votre maison, il vous suffit de renseigner ses différentes caractéristiques : surface habitable, nombre de chambres, nombre de salles d’eau, superficie du jardin, état général, présence ou non d’une piscine, d’une terrasse, d’un jardin, d’un garage ou d’un parking…

Si vous êtes propriétaire, vous avez besoin de cette assurance pour vous protéger des éventuels défauts de paiement de vos locataires. La garantie couvre en outre les possibles détériorations votre logement.

L’assurance loyers impayés en deux mots

Mettre un logement en location comporte un certain nombre de risques, dont la dégradation du bien, le défaut de paiement ou encore la procédure judiciaire d’expulsion. Souscrire une garantie loyers impayés vous permet, en tant que propriétaire, de vous prémunir de ces risques.

Le principe de fonctionnement de la garantie loyers impayés

Pour que la garantie loyers impayés vous protège contre les risques locatifs, vous payez un pourcentage du loyer à un organisme d’assurance habitation.

L’assurer est ainsi tenu de vous avancer les loyers non payés par le ou les locataires défaillants mais aussi de vous rembourser le coût des réparations et de la remise en état suite à des détériorations locatives.

La garantie vous offre également une protection juridique, l’organisme d’assurance prenant en charge tout ce que vous coûte une éventuelle procédure judiciaire d’expulsion : honoraires d’un avocat et des huissiers, frais d’intervention de la police…

L’assureur vous rembourse également les loyers restant impayés en raison du décès ou du départ prématuré d’un locataire avant la fin du bail.

Le coût d’une assurance loyers  impayés

Il faut généralement payer entre 2.5 et 5 % du loyer annuel pour bénéficier d’une assurance loyers impayés.

Le calcul de la cotisation pour une garantie loyers impayés

2 critères entrent en ligne de compte pour le calcul de la prime :

• Le montant du loyer à garantir, charges comprises ;
• Les options que vous souhaitez souscrire, telles que la garantie dégradation, gestion et vérification du dossier de bail.

Le coût de l’assurance loyers impayés est important. Mais cette garantie vous offre une protection contre les risques liés à la mise en location de votre logement. Une protection juridique et financière qui vous permettre de jouir d’un sentiment de sécurité.

Les conditions pour souscrire une assurance loyers impayés

Vous devez remplir un certain nombre de conditions pour bénéficier d’une garantie loyers impayés.

1. Les conditions liées au logement
2. Le logement doit être la  résidence principale du locataire. La garantie ne couvre pas les résidences secondaires mais  aussi les locations saisonnières, les logements de fonctions ou les locaux commerciaux.
3. L’assureur détermine toujours le montant maximum du loyer garanti, généralement autour de 2 000 à 2 500 €.

• La solvabilité du locataire

La solvabilité est une condition sine qua non pour la souscription d’une assurance loyers impayés. Vous devez à cet effet fournir à l’assureur un certain nombre de documents concernant le locataire :

• Ses 3 dernières fiches de paye – le salaire doit être au minimum 2.85 fois supérieur au montant du loyer ;
• Son contrat de travail ;
• Son relevé d’identité bancaire ;
• Ses 2 derniers avis d’imposition ;
• Sa pièce d’identité ;
• Une attestation quand le locataire touche les APL ou toute autre aide de la CAF.

Si votre locataire est un étudiant, il doit fournir une copie de sa carte d’étudiant ainsi qu’un document prouvant l’engagement de caution d’une personne justifiant de sa solvabilité.